J'arrive pas à comprendre ce qui me pousse à écrire ici, clairement. Ce soir, je ne comprends pas. J'ai relu des articles, des vieux, des moins vieux, des en ligne, des hors ligne. Je vois des petits morceaux de ma vie défiler. Cent quatre articles en tout, le premier date d'octobre 2008, c'est dire.
Je crois que j'ai besoin d'extérioriser. J'aime bien faire bien rangée, propre sur moi quand je sors ou quoi, mais si tu entres dans ma chambre, tu constateras que c'est un réel bordel, à l'image peut-être de ce qui joue dans ma tête, avec une différence néanmoins : ce n'est pas la même echelle niveau bordelitude. Parce que ma chambre si je veux, là, tout de suite maintenant, je me lève, je ramasse les conneries accumulées sur le bureau, les fringues éparpillés, les étagères qui craqueront bientôt sous le poids des bouquins. Ma tête, je ne peux rien faire. ressasser sans cesse les mêmes thématiques, les mêmes angoisses, cette impression que la vie est totalement absurde et merde qu'est-ce que je fous, les gens qui viennent se greffer aux pensées, ceux qui ont décidé de squatter et d'occuper ta boite crânienne pendant un moment jusqu'à ce que tu te décides à faire quelque chose...
Point sensible. J'avais dit, dans un article du douze novembre deux-mille dix que je n'en parlerais pas, que j'essaierais de ne pas en parler. Pourtant, je l'aperçois partout, en filigrane sous les mots. Je parle d'autre chose, fait diversion mais. Je sors, je fais n'importe quoi, je m'occupe.
Je n'ai pas de solution miracle. Je vais faire comme d'habitude : laisser le temps découdre ces fils qui se sont tissés malgré nous et auxquels je n'ai pas envie de m'accrocher.
Je crois que j'ai besoin d'extérioriser. J'aime bien faire bien rangée, propre sur moi quand je sors ou quoi, mais si tu entres dans ma chambre, tu constateras que c'est un réel bordel, à l'image peut-être de ce qui joue dans ma tête, avec une différence néanmoins : ce n'est pas la même echelle niveau bordelitude. Parce que ma chambre si je veux, là, tout de suite maintenant, je me lève, je ramasse les conneries accumulées sur le bureau, les fringues éparpillés, les étagères qui craqueront bientôt sous le poids des bouquins. Ma tête, je ne peux rien faire. ressasser sans cesse les mêmes thématiques, les mêmes angoisses, cette impression que la vie est totalement absurde et merde qu'est-ce que je fous, les gens qui viennent se greffer aux pensées, ceux qui ont décidé de squatter et d'occuper ta boite crânienne pendant un moment jusqu'à ce que tu te décides à faire quelque chose...
Point sensible. J'avais dit, dans un article du douze novembre deux-mille dix que je n'en parlerais pas, que j'essaierais de ne pas en parler. Pourtant, je l'aperçois partout, en filigrane sous les mots. Je parle d'autre chose, fait diversion mais. Je sors, je fais n'importe quoi, je m'occupe.
Je n'ai pas de solution miracle. Je vais faire comme d'habitude : laisser le temps découdre ces fils qui se sont tissés malgré nous et auxquels je n'ai pas envie de m'accrocher.